Une douleur familière, un visage familier.

Camille Lemoine n’a jamais été du genre à se plaindre.

Mais chaque mois, pendant des années, ses règles la mettaient à terre. Crampes violentes, protections qui fuient, honte d’une tache imprévue sur un jean clair… et surtout ce sentiment lancinant que son corps lui échappait.

En école d’ingénieur biomédical, elle réalise que malgré tous les progrès technologiques, les protections menstruelles n’ont presque pas évolué.

C’est dans cette faille qu’est née une obsession : rendre les règles presque invisibles dans la vie des femmes.

Et si on arrêtait d’en parler… parce qu’on les oublie ?

Camille n’a pas eu “l’idée géniale” en se réveillant un matin. Elle l’a eue après un rendez-vous avec sa petite sœur de 17 ans. Un regard honteux, un sac fouillé à la hâte pour trouver un tampon, une tache sur une robe blanche, un malaise palpable.

C’est ce jour-là qu’elle s’est promis que plus jamais une femme ne devrait se sentir sale ou dérangée à cause de son propre corps.

C’est là que Welly est née — pas pour parler des règles. Mais pour qu’on n’ait plus besoin d’en parler.

Welly, la révolution invisible.

Welly, c’est un disque menstruel nouvelle génération : souple, confortable, presque imperceptible. Il se place une fois, et protège jusqu’à 12 heures, sans odeur, sans fuite, sans compromis.

Mais surtout, il est pensé comme une paix mensuelle — celle qu’on attendait sans le savoir.

Welly ne vend pas un produit, mais une sensation : celle de vivre pleinement, même pendant ses règles.

C’est le luxe de l’oubli, rendu accessible à toutes.